Et si j'avais les mots qu'il faut pour accrocher les images...
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Crise passagère. Enfin j'espère !
Cela ne m'était jamais vraiment arrivé de me réveiller sans aucune envie, déshabillée de sourire et d'enthousiasme. Me réveiller déprimée.
Je ne suis bien qu'à l'instant où je m'endors, quand je me dis que je rejoins un monde où tout est possible. Où tous mes désirs pourront prendre vie.
Je me réveille, sans goût, sans odeur. Fade.
Cela ne m'était jamais vraiment arrivé.
Il y a un an, enfin presque un an (encore quelques jours à attendre pour souffler cette sinistre bougie) ce n'était pas pareil. Je n'étais pas complètement désespérée. J'essayais de voir loin, même si je ne comprenais plus rien. Même si j'avais soudain l'impression d'être dans un cauchemar. Dans un vrai cauchemar. Les murs s'écroulaient.
Je n'avais plus de voix tellement j'avais crié, hurlé, de douleur, d'injustice, d'enfer.
J'avais des cheveux, plein mon oreiller, je les arrachais pour avoir mal ailleurs qu'à mon coeur.
Je me pinçais sans cesse, comme dans les dessins animés : "dites-moi que c'est un cauchemar, dites-moi que c'est un cauchemar".
Mais il perdure.
C'est bien la vraie vie.
Mais je persiste à dire que je n'étais pas complètement désespérée.
Et je ne le suis pas.
Il ne faut pas être désespérée.
Je pense qu'il y a toujours une lumière. La mienne c'est celle de notre amour.
Mais alors, pourquoi ce sentiment de désillusion qui me taraude ?
Parce qu'Elle me manque ? Parce que ce que je voudrais n'est pas ?
Parce que c'est la vie et pas le paradis ? Parce que c'est la réalité et pas le rêve ?
La date approche.
Je voudrais que les jours n'existent pas.
Que la notion du temps soit autre.
Que lorsque je me réveillerai lundi matin, je ne pense pas à tout le mauvais.
Que cela soit un jour comme un autre.
Le rapport ne devrait plus tarder.
Fin janvier début février avait-il dit...
Brrrrr.
J'dois y aller
j'voudrais pouvoir finir un jour ce que j'ai commencé.
Cela ne m'était jamais vraiment arrivé de me réveiller sans aucune envie, déshabillée de sourire et d'enthousiasme. Me réveiller déprimée.
Je ne suis bien qu'à l'instant où je m'endors, quand je me dis que je rejoins un monde où tout est possible. Où tous mes désirs pourront prendre vie.
Je me réveille, sans goût, sans odeur. Fade.
Cela ne m'était jamais vraiment arrivé.
Il y a un an, enfin presque un an (encore quelques jours à attendre pour souffler cette sinistre bougie) ce n'était pas pareil. Je n'étais pas complètement désespérée. J'essayais de voir loin, même si je ne comprenais plus rien. Même si j'avais soudain l'impression d'être dans un cauchemar. Dans un vrai cauchemar. Les murs s'écroulaient.
Je n'avais plus de voix tellement j'avais crié, hurlé, de douleur, d'injustice, d'enfer.
J'avais des cheveux, plein mon oreiller, je les arrachais pour avoir mal ailleurs qu'à mon coeur.
Je me pinçais sans cesse, comme dans les dessins animés : "dites-moi que c'est un cauchemar, dites-moi que c'est un cauchemar".
Mais il perdure.
C'est bien la vraie vie.
Mais je persiste à dire que je n'étais pas complètement désespérée.
Et je ne le suis pas.
Il ne faut pas être désespérée.
Je pense qu'il y a toujours une lumière. La mienne c'est celle de notre amour.
Mais alors, pourquoi ce sentiment de désillusion qui me taraude ?
Parce qu'Elle me manque ? Parce que ce que je voudrais n'est pas ?
Parce que c'est la vie et pas le paradis ? Parce que c'est la réalité et pas le rêve ?
La date approche.
Je voudrais que les jours n'existent pas.
Que la notion du temps soit autre.
Que lorsque je me réveillerai lundi matin, je ne pense pas à tout le mauvais.
Que cela soit un jour comme un autre.
Le rapport ne devrait plus tarder.
Fin janvier début février avait-il dit...
Brrrrr.
J'dois y aller
j'voudrais pouvoir finir un jour ce que j'ai commencé.
Ecrit par rafaelle-, le Jeudi 9 Février 2006, 21:21 dans la rubrique Quand la lune prend la place....
Commentaires :
Re:
Et moi j'arrive à la gare de Mantes lundi soir à 18h06, pour passer ces quelques jours difficiles à Epône...
C'est "drôle" car l'an dernier, le 14 février, je m'étais réveillée en croisant les doigts (j'esperais que tout ce que l'on m'avait dit la veille n'était qu'un cauchemar) mais j'étais désemparée et j'avais passé la journée avec mon oncle d'Epône que j'avais aidé à tourner un documentaire.
enfin bref peu importe, mais j'y repensais là..
:-)
C'est "drôle" car l'an dernier, le 14 février, je m'étais réveillée en croisant les doigts (j'esperais que tout ce que l'on m'avait dit la veille n'était qu'un cauchemar) mais j'étais désemparée et j'avais passé la journée avec mon oncle d'Epône que j'avais aidé à tourner un documentaire.
enfin bref peu importe, mais j'y repensais là..
:-)
Re: Re:
Lundi soir 18h06... Epône. Soit je serais en train de me noyer dans le champagne. Soit je serais en train de me noyer dans un bocal... Je pense plutôt à la deuxième solution... Très envie d'être devant cette auto-école. Et tellement peur de devoir y retourner... ;-)
BzOo et bon week-end!
BzOo et bon week-end!
Juste dire : ouaaaaaaaaaaaaaaah ! que de couleurs ici ! j'aime ça, c'est vif, ça donne envie de sourire, et je crois que j'aime bien cette association colorée que tu mets en valeur ici : bravo à toi :D
Bon je sais que mon message n'a rien à voir avec ton article, alors on dira que j'espère que la crise passagère est passée justement et que maintenant tu es repartie sur ta route multicolore :D (je te fais confiance, tu n'es pas du style à baisser les bras longtemps)
Regarde la belle luminosité qui revient doucement et annonce la douceur du printemps, ne t'arrête pas à la froideur hivernale, avance vers la chaleur :)
Et continue d'écrire jolie raf :D !!!
ciorale
Alors, en attendant, parce que c'est le plus embêtant d'attendre..., tout plein de Courage.
Même que j'ai pensé à toi aujourd'hui quand je me suis garée devant l'auto-école d'Epone! ^^ lol